Annick Mathieu, présidente de l'association Un enfant peut sauver un arbre, déborde d'idées et d'énergie pour soigner et préserver cette nature qu'elle aime tant. Toutes les actions qu'elle conduit avec son association que ce soit dans sa ville de Chevigny ou ailleurs forcent l'admiration de tous.
Elle est allée le mois dernier à Saint-Geours-de-Maremne pour planter des pins dans cette forêt landaise dévastée par la tempête de 2009.
Les élèves des classes de sixième du collège Aimé-Césaire de Saint-Geours-de-Maremne ont écrit un poème pour symboliser l'action de Mamie Chaussette (à découvrir ci-après).
Une pancarte a été plantée afin que chaque promeneur soit sensibilisé à l'action menée avec des enfants. Ceux qui étaient présents, ce 18 novembre 2014, ont compris l'importance vitale de replanter des pins afin de faire face aux entrées maritimes, à l'érosion des dunes et aussi sauvegarder le patrimoine économique d'une région et tous les métiers qui découlent de l'arbre d'or (le pin).
Elle est allée le mois dernier à Saint-Geours-de-Maremne pour planter des pins dans cette forêt landaise dévastée par la tempête de 2009.
Les élèves des classes de sixième du collège Aimé-Césaire de Saint-Geours-de-Maremne ont écrit un poème pour symboliser l'action de Mamie Chaussette (à découvrir ci-après).
Une pancarte a été plantée afin que chaque promeneur soit sensibilisé à l'action menée avec des enfants. Ceux qui étaient présents, ce 18 novembre 2014, ont compris l'importance vitale de replanter des pins afin de faire face aux entrées maritimes, à l'érosion des dunes et aussi sauvegarder le patrimoine économique d'une région et tous les métiers qui découlent de l'arbre d'or (le pin).
« Avec son chapeau et son imperméable roses, ses célèbres écharpes vertes, sa générosité et son franc-parler, Mamie Chaussette a quelque chose de la bonne fée. Après les épreuves qui ont marqué sa vie, dont une dizaine d'années qu'elle a passées clouée dans un fauteuil roulant suite à un accident, cette incroyable dame a eu la sagesse de comprendre que pour changer le monde, il faut aimer et surtout, croire en ses rêves et encourager ceux qui en ont », a écrit Olivier Bonnefon dans le journal Sud-Ouest.
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Lire le poème écrit par les élèves de 6e du collège Aimé-Césaire de Saint-Geours-de-Maremne.
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