Ce jeudi 27 avril à partir de 19 h 30, l'association Un enfant peut sauver un arbre a organisé sa première soirée annuelle d'observation des chauves-souris dans le Village près du parc Accrobranche dans le bois de Chevigny-Saint-Sauveur.
Avec la participation des étudiants de la Faculté de sciences et de biologie de Dijon, l'association de Mamie Chaussettes (présidente Annick Mathieu) reste très attachée à l'avenir des belles de nuit. C'est pourquoi, deux fois par an minimum, elle partage avec les étudiants du GNUB (Groupe Universitaire de la Fac de Sciences) ces soirées d'observation et de comptage.
La Faculté de Dijon est devenue référente pour les chauves-souris concernant leur protection.
Le constat sur le site de Chevigny est rassurant car des naissances ont eu lieu dans les différents nichoirs.
N'oublions pas que pour se nourrir, mille moustiques par nuit sont nécessaires aux chauves-souris.
Le saviez-vous ?
Les chauves-souris utilisent l’écholocation
pour chasser à la volée les insectes attirés par les
lumières extérieures. Chacune émet, par la bouche
ou le nez, des ultrasons. Ce sont des sons à haute
fréquence, que nous, humains, ne pouvons pas
entendre. Ces sons « ricochent » sur les insectes
en vol et les ondes sonores reviennent en écho aux
grandes oreilles des chauves-souris, comme une
parabole.
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| Annick Mathieu entourée des étudiants du Groupe Universitaire de la Fac de Sciences |
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