Cette journée du 11 mars est un hommage à toutes les vies brisées par cette folie meurtrière. Le terrorisme n’est pas une opinion, c’est un crime. Il ne dialogue pas, il ne négocie pas, il frappe au hasard, dans les écoles, les lieux de culte, les salles de spectacle, les rues, les terrasses.
Nous nous souvenons des victimes de l’attentat de la rue des Rosiers en 1982, des attaques de 1995 à Paris, des assassinats de Toulouse et Montauban en 2012, du massacre de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher en 2015, du carnage du Bataclan et des terrasses de Paris le 13 novembre 2015, du camion de la mort qui a fauché des familles entières à Nice le 14 juillet 2016, du prêtre égorgé à Saint-Étienne-du-Rouvray, des attentats de Magnanville, du marché de Noël de Strasbourg, et de tant d’autres drames qui ont ensanglanté notre sol.
Que la mémoire des victimes nous donne la force de lutter, sans relâche, sans faiblesse, sans oubli.
« Ne transigeons jamais sur nos valeurs républicaines, ne cédons rien face à ceux qui veulent nous faire taire et renoncer par la violence et l’intimidation à nos idéaux », Guillaume Ruet, maire de la Ville.
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