Nathalie Pagel |
Nathalie Pagel vit à Chevigny-Saint-Sauveur depuis 24 ans.
Très jeune, dès l’âge de 7 ans, elle tient un journal intime
et y dépose ses premières notes, déjà soucieuse de « porter un soin
extrême à ce qu’elle fait ». D’ailleurs, elle obtient un premier prix de
littérature à l’âge de 9 ans.
A l’adolescence, elle écrit ses premiers poèmes. Ses
rédactions scolaires émerveillent ses professeurs de français. Nathalie ne
cesse d’écrire pour le plaisir.
Son
inspiration ? Christian Bobin
Pour apprendre à écrire, il faut d’abord lire. Nathalie découvre
alors les œuvres du
bourguignon Christian Bobin.
« Ce n’est pas pour devenir écrivain qu’on écrit. C’est
pour rejoindre en silence cet amour qui manque à tout amour, c’est pour
rejoindre le sauvage, l’écorché, le limpide. » Nathalie aime à rappeler
cette phrase écrite par Christian Bobin.
En 1998, Nathalie est lauréate du concours organisé dans le
cadre de la semaine de la langue française par la ville de Talant. Sa nouvelle
s’intitule Jalousie, alors éditée à
500 exemplaires.
Son souhait ? Se
faire éditer
Nathalie a actuellement deux romans qui sont prêts à éditer :
L’été de tes 10 ans
(témoignage-essai) et Marie-Madeline
(roman). En véritable écrivain, Nathalie a pensé d’abord à écrire et
accessoirement à publier. Aujourd’hui, elle veut faire le grand pas et présente
ses deux manuscrits à des éditeurs reconnus.
Pour conclure ce portrait, la rédaction a repris
cette citation tirée de la nouvelle Jalousie.
« Qu’importait à présent ma solitude, puisque j’en
supportais allègrement le poids. Les choses ne sont jamais tout à fait ce que
l’on imagine… La beauté, la laideur, c’est nous seuls qui les créons » (Jalousie, Nathalie Pagel).
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